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#Salons et évènements
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Noémie Goudal
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Avec ses images, Noémie Goudal construit le travail énigmatique capable de présenter l'interrogation intime et introspective de notre présence dans l'espace cosmique.
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Le Bal est un établissement de Paris consacré à comprendre la manière dont les images interprètent la réalité. Son travail culturel a maintenant enjambé dix ans de réaction continuelle à la complexité des formes contemporaines de l'image en tant que « documents », sondant leur esthétique et statut social. L'établissement du programme des événements profite des expositions pour développer – toujours d'une façon innovatrice – des réflexions sur la complexité du travail contemporain. Dans le cadre du programme, l'organisation met en parallèle des événements scientifiques, soirées avec des films, et concerts, favorisant l'échange continuel entre les disciplines. C'était le cas trop avec l'exposition récente « corps de Cinquième » se concentrant sur le travail de l'artiste français Noémie Goudal, qui a présenté ses réflexions sur l'acte de la photographie comme geste de clé capable de créer l'intérêt phénoménologique intense pour l'observation du « espace ». L'exposition a pu être lue comme voyage de l'initiation dans un espace métaphorique imaginé et reconstitué par l'artiste elle-même. Le visiteur a été accueilli par trois images des stations légères du sud de série, qui ont redéfini la globalité surréaliste de l'image symbolique du monde. Noémie Goudal construit le travail énigmatique capable de présenter une question intime et introspective de notre présence dans l'espace cosmique. Le geste métaphorique du « regard au delà de » a toujours été une grande inspiration pour la construction d'une langue visuelle de l'imagination créée par les figures symboliques et des formes qui ont leurs origines dans le modèle aristotélicien de l'univers. Leur restitution visuelle met en lumière le désir et la curiosité impliqués dans la découverte d'un espace qui joue avec la réalité et l'imagination, l'imagination et la vérité scénique. La spéculation est comprise ici comme acte d'observer clarifié par ses racines étymologiques dans le speculum, ou image reflétée. La disposition dans l'exposition a permis pour combiner l'expérience des images multiples, les réunissant par l'utilisation d'un stéréoscope créé comme une figure tridimensionnelle dans la salle. Cette restitution complexe du vrai est capable de souligner la puissance de l'artifice photographique dans la reconstruction apparente de la trois-dimensionnalité des fragments des endroits. Le travail visuel de Noémie Goudal explore l'image et sa réflexion par l'étude de la perspective : l'observation d'autres mondes est traduite en correspondance continuelle à la réflexion dans l'image et de l'image. Se déplaçant au niveau de sous-sol (qui pendant les années '20 d'or a logé la salle de danse qui a donné à la galerie son nom), la disposition de l'exposition reconstruit un monumentality de l'espace, de même qu'évident dans les copies de grand format de la série à la recherche de la première ligne. Les images en Observatoires soulignent l'obsession de Noémie Goudal avec la reproduction formelle de l'espace. Les objets architecturaux reproduits pour reconstituer allégoriquement le contact entre différentes, obscures et inconnues réalités spatiales. Le travail illustre la puissance de la photographie comme objet bidimensionnel capable construire et reproduire la trois-dimensionnalité avec des endroits. Mais l'image n'est pas le résultat d'un processus de recherche et d'observation. Noémie Goudal étudie des formes architecturales symboliques pour les photographier, les reproduisant sur les feuilles A4, et puis reconstruisant leur mise-en-scène avec une aile de théâtre constituée par un endroit qui est énigmatique et métaphysique dans son essence de base. La révélation de la fiction par la mise en évidence du volontaire de l'artiste de la deux-dimensionnalité de l'image rend ces objets bien plus énigmatiques, a souligné trop par leurs relations directes avec le fond. L'exposition s'est prolongée aussi bien au café, à un endroit d'expérimentation avec les relations entre la nourriture et aux images. Ici Noémie Goudal est revenue à son travail d'analyse visuelle. Été présenté a un vaste catalogue des images faisant des gestes à la complexité d'un voyage dans la recherche iconographique. C'est un voyage qui a fait participer l'artiste dans le travail visuel et tridimensionnel, afin d'essayer d'exprimer le geste d'observer par la forme archétypale de l'observatoire.
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