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#Inspiration
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Contre-plaqué sur la glace
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Vancouver ? les architectes de s Patkau ont soumis une solution poétique et sereine à la concurrence de patinage annuelle de conception d'abris de Winnipeg de dernières années pour la ville de Winnipeg.
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Winnipeg est une ville de 600.000 résidants situés sur la prairie canadienne. C'est la ville la plus froide de sa taille en dehors de de la Sibérie.
L'hiver peut durer six mois ; l'étude pour célébrer l'hiver, apprenant à tirer profit des occasions que l'hiver fournit semble raisonnable. Le rouge et les fleuves d'Assiniboine se réunissent au centre de la ville, et en hiver, une fois labouré clairement outre de la neige, le patinage traîne beaucoup de milles long sont créés. Avec les températures qui chutent au minus 30 et 40 Celsius pendant de longues périodes, et les vents qui peuvent faire sans 30 se sentent comme le minus 50, la création des occasions de trouver l'abri du vent augmente considérablement la capacité d'employer les traînées de patinage de fleuve.
Par conséquent, un programme annuel a été développé pour commanditer la conception et la construction des abris provisoires multiples situés le long du patinage traîne. Patkau ? la proposition de s se compose d'un faisceau des abris intimes, un ensemble serein de six lanternes chaque rendre service seulement à quelques personnes à la fois. Elles sont groupées dans un petit village ou s'assemblent, pour former un association collectif de quelque chose, irréductible à une interprétation simple. Elles se tiennent avec leurs dos au vent comme le buffle, semblant avoir la vie et purpose pendant qu'elles se blottissent ensemble se protégeant des éléments.
Chaque abri est constitué du contre-plaqué mince et flexible qui est donné la structure et le caractère spatial par le recourbement/déformation. Les peaux, faites de 2 couches de 5mm contre-plaqué flexible épais, sont dedans coupés les modèles et fixé à une armature de bois de construction qui se compose d'une base triangulaire et des membres triangulaires d'épine et d'arête. Les expériences dans leur atelier avec un prototype complet ont tracé les efforts du recourbement. Des points d'effort ont été soulagés par une série de coupes et d'ouvertures.
La forme de l'abri est une résultante de ce processus de soumettre à une contrainte/déformant et puis libérant l'effort. Le groupement des abris dans un faisceau commence par le rapport de deux, et leur juxtaposition à qualifier la taille et l'accessibilité de leurs orifices d'arrivée. Cet appareillement apparent occasionnel est réalisé réellement par une rotation précise de 120 degrés. Trois paires (une avec la réflexion de miroir) sont alors placées par rapport à une une autre par une rotation secondaire de 90 degrés pour former le faisceau et pour définir un espace intérieur intermédiaire dans le groupement plus grand.
Ensemble, les abris créent les rapports dynamiques solaires/vent qui décalent selon l'orientation spécifique, l'heure et la circonstance environnementale. Ce sont les structures sensibles et vivantes. Elles se déplacent doucement le vent, grinçant et balançant en avant et en arrière à de diverses fréquences, flottant périlleux sur la surface du fleuve congelé, secouant outre de n'importe quelle neige qui pourrait adhérer à leurs surfaces.
Leur nature fragile et effilée met au courant ceux abritée par elles suprêmement de l'inévitabilité, de la férocité et de la beauté de l'hiver sur les prairies canadiennes.