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#Salons et évènements
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Revivre le Paris des années 1970 de Pierre Paulin
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Faites un voyage dans le Paris des années 1970 avec la célébration par Sotheby's de l'œuvre du designer français Pierre Paulin
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L'héritage de l'iconique designer français Pierre Paulin est bien vivant et bien entre les mains de la prochaine génération - un fait parfaitement illustré par la revue récente de Sotheby's sur son travail à Paris. Pierre Paulin, une pensée au présent" propose une rétrospective élégante des créations les plus remarquables de Paulin, avec 40 pièces qui ont défini son œuvre repoussant les limites bien au-delà de sa mort en 2009.
L'exposition était un exercice commun entre Paulin, Paulin, Paulin - formé de la veuve de Pierre Paulin, Maia, du fils Benjamin et de la femme de Benjamin, Alice Lemoine - et le responsable du design de Sotheby's, Florent Jeanniard. L'exposition était consacrée à la renaissance et à la réaffirmation de la position du maître en tant que figure de proue du design français du XXe siècle.
L'exposition en dit long sur les dualités dans l'œuvre de Paulin", explique Benjamin Paulin à propos de l'exposition, qui présente plusieurs pièces inédites aux côtés d'œuvres plus connues. Des systèmes modulaires des collections du Programme Pierre Paulin et de Pompidou aux luxueuses productions limitées des années 1080 pour François Mitterrand"
Le lieu de l'exposition, rue du Faubourg Saint-Honoré, existe aussi comme une sorte de retour au pays pour Paulin. À la fin des années 1960, il est chargé par le président de l'époque, Georges Pompidou, et son épouse Claude, de concevoir leurs appartements privés au palais de l'Élysée, juste de l'autre côté de la rue. Des décennies plus tard, François Mitterrand lui demandera d'en faire autant.
Suivant un ordre chromatique peu rigoureux sur trois niveaux, l'exposition, qui déborde d'un savoir-faire tout droit sorti de la France des années 1970, a été conçue comme une véritable exposition de photos. Lorsque les visiteurs entrent, les grappes blanches du canapé Dune de Paulin, qui ressemble à un origami, s'étalent comme une fumerie d'opium bien éclairée. En traversant le niveau supérieur, des chaises longues Déclive plus grandes que nature, dans de subtiles variations de rouge, se déploient comme des languettes qui se prélassent, menant à une pièce parsemée de rayonnages modulaires de l'Élysée couleur cerise, coupés en deux par un canapé Osaka serpentant.
L'étage supérieur présente principalement des œuvres provenant des patronages présidentiels de Paulin. Des pièces assorties de l'époque de Mitterrand sont regroupées en bleu et en bordeaux, y compris la chaise de bureau viennoise en rose canné de l'ancien président tirée vers son bureau de direction bleu étonnamment énorme avec des incrustations roses géométriques ; un plaisir visuel contre les murs blancs et les fresques sobres du siège parisien doré de Sotheby's.
Dans la dernière salle, nous revenons au monochrome, en nous concentrant sur la célèbre demeure rétro-futuriste de Pompidou. Des canapés blancs à bulbe, des tables en verre fumé et une moquette luxueuse évoquent des scènes de sénateurs parisiens qui fument à la chaîne (Paulin a d'ailleurs conçu une pièce du palais spécialement pour cette activité) et le désir d'un autre chef d'État au goût similaire.
Quant aux nouveaux locataires d'à côté ? J'espère qu'Emmanuel et Brigitte nous rendront visite", plaisante Benjamin, diplomatiquement